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SÉNATORIALES 2023 AU CAMEROUN : les observateurs nationaux et internationaux briefés

En prélude aux élections du 12 mars prochain, Elections Cameroon a organisé une séance d'informations des observateurs le 9 mars 2023 à Yaoundé.

Scruter le vote, le dépouillement et les résultats, afin de dissuader quiconque de tentative d’entrave à la démocratie, c’est la lourde mission qu’auront les observateurs nationaux et internationaux, lors de la tenue des élections sénatoriales, le 12 mars prochain sur l’ensemble du territoire national.

À trois jours du scrutin, Elections Cameroon tient cette séance de travail avec ces observateurs électoraux, pour une mise au vert. La direction générale des élections leur donne les informations pratiques pour garantir l’intégrité électorale des sénatoriales 2023 au Cameroun qui à l’issue verront élire 70 sénateurs le 12 mars prochain.

Pour ce qui est du code de conduite par exemple, le Directeur général des élections, Éric Essousse, fait savoir que : « Il faut que les observateurs soient objectifs, qu’ils fassent des rapports sur ce qu’ils ont vu, qu’ils respectent les procédures en place pour une élection transparente ».

Pour plus de précisions bien vouloir cliquer sur le lien ci-après ????
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À la question de savoir si le dispositif est également prêt dans les régions en crise, du Nord-ouest et du Sud-ouest, Éric Essousse affirme que le processus est bien avancé et n’attend plus que le jour dit. « Depuis qu’il y a ces perturbations, vous constatez que nous organisons toujours les élections dans les meilleures conditions dans ces régions. Nous avons le soutien des autorités administratives, des forces de sécurité pour que tous puissent se passer dans les bonnes conditions », a rassuré le Directeur général des élections.

Le jour du scrutin

« Les élections auront lieu dans 158 bureaux de vote répartis sur le triangle national. Chaque bureau devra accueillir 51 électeurs. Le scrutin débutera à 8 heures et s’achèvera à 18 heures. Les mesures anti-Covid-19 seront appliquées. Le matériel a déjà été acheminé sur le terrain, nous attendons plus que le jour du scrutin », a tenu à relever Éric Essousse.

Au ministère de la communication, l’on entend mobiliser les organes de presse pour une couverture médiatique optimale des sénatoriales. Le ministère invite les médias à se rapprocher des délégations régionales pour les accréditations. Sauf que certains patrons de presse se heurtent à la problématique de la carte de presse.

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