FrançaisSANTÉ

PRISE EN CHARGE EN PÉRIODE DE FÊTES : Manaouda Malachie, fait une randonnée dans les hôpitaux de Yaoundé

PRISE EN CHARGE EN PÉRIODE DE FÊTES

Manaouda Malachie, fait une randonnée dans les hôpitaux de Yaoundé

Le 1er janvier 2022, le ministre de la Santé Publique a effectué des descentes inopinées dans certaines formations sanitaires de la capitale, et au-delà, évaluer la prise en charge des malades.

Apporter du réconfort et du soutien aux personnels d’astreinte, mais aussi s’enquérir de la situation dans la gestion des éventuels afflux de cas relatifs aux festivités de la Saint-Sylvestre, c’est l’objectif de la descente du ministre de la Santé publique, dans les hôpitaux de District de SOA, Général de Yaoundé, gynéco-obstétrique et pédiatrique et au centre Jamot.

De manière générale, tout est sous contrôle en ce premier jour de l’an 2022. À l’hôpital général de Yaoundé, sept patients dont cinq victimes d’accidents de la circulation et deux de douleurs abdominales ont été reçus dans la nuit du 31 décembre 2021 au 1er janvier 2022. Ici, le patron de Santé remet en cause l’organisation des services des urgences. En effet, les malades sont pris en charge dans les couloirs, en plus, il est quasiment impossible de joindre les superviseurs des équipes de garde et du jour. Face à cette situation, le ministre de la Santé publique Manaouda Malachie, instruit que des mesures soient prises à leur encontre.

Sur les quatre hôpitaux ou le ministre a essentiellement fait le tour des urgences, juste 10 cas d’accidents de la route et une quinzaine pour d’autres maux ont été enregistrés. Pour le Minsanté, ces chiffres enregistrés dénotent du sens de responsabilité des citoyens camerounais en un jour aussi jouissif qu’est le 1 janvier 2022.

Tout au long de son périple, Manaouda Malachie n’a pas manqué de galvaniser les équipes du corps médical ; il a également apporté le réconfort du gouvernement aux malades, pour lesquels il instruit des démarches particulières pour certains cas de patient à l’instar de la prise en charge au frais de l’État, la réduction des coûts ou la libération des patients dehors de danger, mais retenus à l’hôpital pour non-paiement de leur facture.

Raphaël MFORLEM

Afficher plus

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Bouton retour en haut de la page