SANTÉ PUBLIQUE
Le Chracerh donne naissance à 256 nouveauxnés en 5 ans
La structure hospitalière de référence a ouvert ses portes le 6 mai 2016, à Yaoundé.
Cela fait 5 ans que le Centre hospitalier de recherche et d’application en chirurgie endoscopique et reproduction humaine (Chracerh) a été inauguré par la Première dame Chantal Biya. Pour l’évènement, c’est l’amphithéâtre dudit centre basé au quartier Ngousso à Yaoundé qui a été transformé en lieu de festin le temps d’une journée, pour la célébration du cinquième anniversaire de ce don du couple présidentiel Paul et Chantal Biya qui en cinq ans a donné naissance à 256 nouveaux nés grâce au miracle de la fécondation in vitro.Au premier rang de célébration, 5 enfants nés dans ce centre accompagnés de leurs génitrices sont venus communier avec le personnel soignant de cet établissement hospitalier, en présence du top management dont des membres du conseil d’administration et d’autres invités de marque. Malgré les restrictions qu’impose la pandémie à coronavirus. Le Directeur général du Chracerh, Jean Marie Kasia a rendu hommage au président de la République, Paul Biya, porteur de la vision Chracerh et à son épouse, marraine du Centre. Il a souligné le dynamisme et l’implication sans faille dont le personnel fait preuve au quotidien, au service des patients et usagers en proie au défi de l’infertilité. « Tous ces bébés venus au monde ici, ces familles qui ont retrouvé la joie de vivre, ces patients repartis avec le sourire : sachez que c’est votre ouvrage, fruit du sacrifice quotidien, que je tiens à saluer, à féliciter et à encourager en cette heureuse circonstance », a déclaré l’ADG.Dans son propos, Jean Marie Kasia a indiqué que les 5 premiers bébés qui ont vu le jour au Chracerh ont bien grandi et se portent bien. Comme pour dire que le chiffre 5 est le symbole de la victoire de la vie sur la mort. Ainsi, «au cours de ces cinq premières années, le Chracerh a consacré la victoire de la vie, à travers l’enfantement notamment grâce à la FIV sur l’infertilité », a-t-il insisté.
Raphael MFORLEM
