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CHANTAL BIYA : une dame dont les œuvres font l’unanimité

Face aux critiques maladroites et insidieuses d’une internaute sans vergogne à l’endroit de la première dame Chantal Biya, Ange Sama, dans une riposte plus que proportionnelle à l’attaque tient à redorer le blason de cette humanitaire dont les actions en faveur des malades, couches sociales défavorisées et pour la lutte contre les souffrances, parlent d’elles-mêmes.

Depuis le 7 janvier 2024, les réseaux sociaux connaissent une agitation particulière. La sortie devenue virale d’une internaute camerounaise qui en a l’habitude, a pour cette fois tenté de vider son sac plein d’aigreur sur la plus aimée des Camerounais, la première dame Chantal Biya. Marlène Emvoutou puisqu’il s’agit d’elle, reproche à l’épouse du président de la République Paul Biya, son comportement sur les réseaux sociaux, sa proximité avec d’autres influenceurs, ainsi que son insistance à être appelée « Madame la Présidente ».

Elle évoque en outre, la participation de Chantal Biya à la fête des enseignants, et l’encourage à soutenir des initiatives portées par des intellectuels plutôt que de s’intéresser aux concours de beauté et aux événements sportifs. Marlène Emvoutou, considère que la première dame n’a pas les aptitudes nécessaires pour diriger un État et la pousse à se concentrer sur l’écriture de ses mémoires.

Sauf que pour cette autre sortie ô combien maladroite et mal aimée par une bonne franche des Camerounais, mal lui en a pris. Réputée comme étant une dame, qui n’a guère le frein dans l’expression, a cette fois mal à partie avec certains compatriotes parmi lesquels, le nommé Ange Sama, Délégué à la communication de la Sanaga Maritime Centre I, membre du Rassemblement démocratie du peuple camerounais (Rdpc), premier vice-président de la ligue du Centre de la Fédération d’athlétisme, chef de la grande famille Sama Ayissi et par ailleurs, une vieillie connaissance et ami de la première dame Chantal Biya, depuis une trentaine d’années.

Cérémonie de remise des vœux de nouvel an 2024 à la première dame au palais de l’Unité.

Ce dernier n’est pas allé par quatre chemins pour déconstruire les affabulations, propos abjects, maladroits et insidieux de Marlène Emvoutou vis-à-vis de la première dame. Dans une vidéo, Ange Sama peine à concevoir le fait que les Camerounais trouvent toujours pour bouc émissaire le chef de l’État, Paul Biya, son épouse Chantal Biya ou un proche du couple présidentiel, lorsqu’il faut peindre en noir ou présenter un fait négatif au Cameroun. Alors que des responsabilités sont déléguées aux ministres, directeurs généraux d’entreprises publiques et parapubliques, et bien d’autres hauts responsables au sein de l’appareillage étatique, par le chef de l’État. En effet, c’est cette mauvaise lecture de la situation par certains Camerounais qui, fait de la première dame Chantal Biya, une victime aujourd’hui.

Dans l’optique de fragiliser l’incapacité de cette dernière à prétendre être en mesure de critiquer la première dame Chantal Biya, Ange Sama, remet au goût du jour le fait qu’Emvoutou qui se dit pieuse, aurait eu deux enfants, avec un vice-président d’un pays en Afrique, mais qu’elle n’aurait pas été capable du haut de son standing de femme vertueuse, intelligente et de diplômée, devenir deuxième dame de ce pays ?

Réputée pour son caractère barbare, prête à s’exhiber en public au point d’en venir aux mains, comme le témoignent certaines vidéos devenues virales sur les réseaux sociaux, Ange Sama veut comprendre sur quel piédestal Marlène Emvoutou se positionne pour songer à critiquer madame Chantal Biya dont la réputation est sans équivoque et dont les œuvres tant sociales qu’humanitaires parlent en sa faveur. Promotrice de la Fondation Chantal Biya, créée en 1994, avec pour objectif principal, venir en aide aux couches sociales défavorisées et lutter contre les souffrances. La fondation est reconnue d’utilité publique au Cameroun en 1999.

Présidente-fondatrice des Synergies Africaines, une organisation non-gouvernementale (ONG) qui regroupe en son sein les premières dames d’Afrique et qui intervient dans les domaines de la lutte contre les pandémies, les transmissions mère et enfant du VIH et l’assistance aux personnes démunies. Chantal Biya, est également la cheville ouvrière du Centre International de Référence Chantal Biya (Circb) inauguré le 23 février 2006 avec pour missions : la recherche, la santé publique, la formation et les essais cliniques afin d’améliorer la prise en charge des malades.

En outre, Chantal Biya est présidente du Cercle des amis du Cameroun (Cerac), ambassadrice de bonne volonté de l’Unesco depuis le 14 novembre 2008 et cofondatrice du Centre hospitalier de Recherche et d’Application en Chirurgie Endoscopique et Reproduction Humaine de Yaoundé (Chracerh), inauguré le 06 mai 2016.

Au rang des honneurs et distinctions, la course cycliste du Grand Prix Chantal Biya porte son nom, depuis 2001. La première dame, est Ambassadrice spéciale de l’Organisation des Nations unies pour le Sida (Onusida), Lauréate d’Or avec Cordon du Grand Prix Humanitaire de France (Gphf), Commandeur de l’Ordre international de la protection civile et Ambassadrice de bonne volonté de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation la science et la culture (Unesco).

Raphaël Mforlem

Lire en détail l’article, en téléchargeant le PDF du journal ici : https://abelainfo.com/wp-content/uploads/2024/01/034-La-voix-des-entreprises_Mise-en-page-1-1.pdf

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